samedi 14 avril 2012

« De la nuit au jour … ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom », le premier recueil de nouvelles de Constant Ory, paru aux Editions Edilivre.


Constant Ory, l’écrivain de l’espoir






« De la nuit au jour … ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom », le premier recueil de nouvelles de Constant Ory.


L’auteur Constant Ory vient de publier un recueil de nouvelles sous la bannière d’Edilivre. Après l’anthologie des plus beaux poèmes d’Amour de la Saint Valentin « Tendresse et Passion », des Editions L’Encre Bleue, un collectif de 26 poètes francophones, sortie le Samedi 18 Février 2012, dont il fait partie, ce deuxième ouvrage vient sûrement confirmer un talent latent qui va aller en crescendo dans l’univers de la littérature ivoirienne…
La Culture Plurielle : Vous  venez de signer un recueil de nouvelles  De la nuit au jour… ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom chez Edilivre. Pouvez-vous nous parler un peu des thèmes abordés  dans vos trois nouvelles ?
Constant Ory : D’abord, permettez que je dise un grand merci au Fondateur des Editions Edilivre, François Guilmoto ainsi qu’à toute cette belle équipe qui ne cesse de redorer l’image de cette maison d’avenir… Mon recueil de nouvelles De la nuit au jour… est effectivement composé de trois nouvelles dont De la nuit au jour… ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom, Un amour rose-bleu et Une richesse sans issue. Dans la première nouvelle, je veux mettre l’accent sur le fait qu’on peut partir de rien pour devenir un homme de référence dans la sphère terrestre. Les symboles Nuit et Jour peuvent ici être interprétés comme l’obscurité et la lumière. Chacun de nous plus ou moins est passé par cette étape à l’instar d’Aya Angeline qui est partie de son état d’analphabète pour devenir une femme lettrée. La deuxième nouvelle, quant à elle, à travers l’histoire sentimentale entre Paulin et Aline nous démontre que le vrai amour existe toujours, cet amour offert par Dieu qui traverse toutes les frontières. Et enfin la troisième nouvelle, Une richesse sans issue éclaire le lecteur sur la relativité de la richesse à travers le chemin épineux emprunté par Yao !

La Culture Plurielle : Quel message voulez-vous  transmettre à vos lecteurs à partir de vos œuvres ?
Constant Ory : Mes écrits tournent toujours autour de la dualité. Je veux amener mes lecteurs à comprendre que, où il y a la vie cohabite la mort ; la haine, l’amour ; la pauvreté, la richesse ; le désespoir, l’espoir...

Y a-t-il une raison particulière qui vous a poussé à écrire sur les thèmes tels que l’espoir, l’amour et la richesse ?
Constant Ory : Je dirai oui. L’écrivain étant le témoin de son temps, se donne en cobaye pour échanger ses expériences avec ses semblables. Il est donc impératif pour moi de ne pas me taire sur certaines choses qui sont de nature à créer du flou dans l’esprit des terriens. Il y a certains qui, pour un rien, ont emprunté la voie du suicide. Je ne peux assister à cet état de fait d’une manière passive.

La Culture Plurielle : Selon vous, est-ce que tout un chacun peut accéder au monde de l’écriture ?
Constant Ory : Je pense que ça dépend de la mission de chacun de nous sur la terre. Au niveau de l’art, en effet, il y a certains qui sont prédestinés à la peinture, d’aucuns à l’écriture et d’autres à la musique. Je ne puis rester, en revanche, insensible face au talent de ces artistes qui réunissent en eux à la fois la musique, la peinture et l’écriture !

Ecrivez-vous avant tout pour votre plaisir personnel ou pour les autres ?
Constant Ory : Ecrire c’est transmettre un message à la fois aux autres et à soi. Il m’arrive souvent de remonter à mes premiers textes jusqu’à ceux du temps présent ; et ma foi, il faut dire que je découvre curieusement un pan de ce que je suis devenu, annoncé depuis des années.

La Culture Plurielle : Avant d’être auteur, vous avez d’abord été lecteur ? Pouvez-vous citer quelques noms de vos auteurs préférés ?
Constant Ory : C’est une liste non exhaustive. Pèle mêle, je citerai Marcel Pagnol, Camus, René Maran, Lamartine, Verlaine, Baudelaire, Tolstoï, Gandhi, Bernard B. Dadié, Mongo Béti, Camara Laye... Ce sont des auteurs qui ont marqué plus ou moins mon enfance, m’ayant pour la plupart influencé.

La Culture Plurielle : Un prochain ouvrage en préparation ?
J’en ai déposé quatre chez Edilivre, dont le premier vient de sortir. Il y a en attente un autre recueil de nouvelles Le vrai amour ne meurt jamais, un livre de témoignage Le guide pratique de la vie terrestre,  qui ont eu l’avis favorable du Comité de lecture d’Edilivre, et un roman d’amour Prisonnier du tourbillon de l’amour qui veut aussi suivre le cheminement De la nuit au jour… Après quoi, j’essayerai de dépoussiérer tous mes premiers manuscrits qui ne demandent autre chose que leur réécriture.

Interview réalisée par www.lacultureplurielle.blog.spot.com.


vendredi 13 avril 2012

Le recueil de nouvelles de Constant Ory

 Chers amies et amis de Facebook,

Je suis heureux de vous présenter ce jour mon recueil de nouvelles intitulé "DE LA NUIT AU JOUR... ou la Vie d'une analphabète devenue une femme de renom" paru aux éditions Edilivre dans la Collection Classique.

Le Résumé de l’œuvre se présente ainsi :

De la nuit au jour nous donne à lire trois nouvelles racontant chacune une histoire différente. La première, De la nuit au jour, raconte l'histoire d'une analphabète devenue une grande femme lettrée à force de persévérance. La deuxième, Un amour rose-bleu, met l'accent sur l'amour véritable qui peut transformer positivement notre vie et que l’on peut rencontrer sur son chemin. La troisième, Une richesse sans issue, nous met en garde contre le danger à vouloir devenir riche coûte que coûte. 
 

Quant à la Biographie, vous pouvez lire ceci :

Constant Ory est né le 21 octobre 1960 à Abengourou. Il possède à son actif un recueil de poèmes intitulé Un soleil dans tes larmes, ainsi qu’une anthologie des meilleurs poèmes d'amour de la Saint-Valentin composés par vingt-six auteurs francophones, Tendresse et passion, parue aux éditions L'Encre Bleue à Abidjan en février 2012. 

Pour en savoir plus, allez-y dans le site d'Edilivre :

www.edilivre.com

 

 

 

mardi 3 avril 2012

LA PERSEVERANCE PAIE TOUJOURS

Comme le disait  La Fontaine dans une de ses Fables Le laboureur et ses enfants : "Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place où la main ne passe et repasse", creuse, fouille,bêche partout, et un jour tu auras la moisson de ta gloire.