samedi 30 juin 2012

A LA DECOUVERTE DE LA FAMILLE ORY


A LA DECOUVERTE DE LA FAMILLE ORY  ET MES DEDICACES

         Nous sommes originaires du village appelé Petit-Yapo regroupant trois gros villlages (Abbéguié, Yapokpa et Dioulakro), situé à quelque 70 km environ d’Abidjan, dans la Région de l’Agneby ayant pour capitale Agboville. Abbéguié  est le village de mon père, Ory Diéké Bernard, né en 1929, tandis que Yapokpa, celui de ma mère, Hélène Houssou, née en 1933.
         Papa Ory et maman Houssou ont eu de leur lien matrimonial 8 enfants, dont l’aînée Ory M’Boua Simone  est à Lyon (France), Ory Denon Delphine dont la mère est de Bongouanou, dans la Région du Moronou, Ory Angoran Jérôme, Ory Léontine  (d’une mère différente), Ory Arriesso Antoinette, Ory Agbo Constant  (le narrateur), Ory Okpo  Philippe, Ory Auyé Claire, Ory Chonon Brigitte  et la dernière Ory Episso Anastasie.
         Mon père eut pour condisciples d’écoles les Léon Konan Koffi, Kei Boguinard, Ange Barry Batesti, Jean Konan Banny et l’écrivain Nazi Boni. Leur école commune était l’EPS de Bingerville. C’est à travers lui que j’ai connu l’épisode de l’Aventure 46, ce voyage organisé par un certain Félix Houphouët Boigny pour les élèves de l’Afrique de l’Ouest devant aller continuer leurs études en France…
         Commis expéditionnaire dans les années 1950, il embrassa la carrière de Greffier en Chef jusqu’à sa mort  en 1991, à Petit-Yapo, dans des conditions assez mystérieuses, n’ayant pu jouir normalement de sa retraite. A peine 5 années !
         Quant à ma mère, elle demeura une courageuse ménagère, rompue aux choses commerciales. Calme et respectueuse, quelques traits de mon caractère viennent d’elle.
         Mon roman autobiographique « A la croisée des souvenirs » qui est en chantier, vous parlera mieux de cette famille…
         Mon père faisait partie de ces rares fonctionnaires qui n’aimaient pas la magouille et qui était respectueux vis-à-vis d’autrui, quel que soit son rang social. De temps à autre, lors de nos différentes causeries, il me racontait de petites anecdotes qui étaient pleines de sagesse.
         Il me disait qu’un jour qu’il devait aller voir l’un de ses amis, haut responsable dans l’administration ivoirienne, il s’était mis dans le rang en attente. Et comme son ami était sorti un moment et qu’il l’y avait aperçu, il l’avait fait appeler et, une fois dans son bureau,  l’avait sermonné de la sorte :
« Mon cher Ory, tu déconnes !
-         Pourquoi ? lui avait demandé mon père.
-         Nous sommes quand même des condisciples d’école ! Dis-toi qu’ici c’est chez toi.
-         Mais non, ce n’est pas comme ça que doit marcher l’administration ! Et si tous les condisciples d’école se mettaient à faire ainsi, que sera le sort des administrés ? »
         Quel formidable père qui préférait la justice à l’injustice !
         Une autre des anecdotes qu’il me raconta fut celle liée à une de ces affectations. Généralement, mon père n’aimait pas interférer dans tout ce qui avait pour épine dorsale l’administration. Mais pour au moins une première fois, parce qu’il voulait qu’on l’affectât dans une ville plus proche d’Agboville afin qu’il puisse construire sa maison de retraite, il profita pour en parler à l’un de ces condisciples d’école qui s’occupait du service des affectations des fonctionnaires. Il lui expliqua la raison pour laquelle il voulait qu’il soit affecté à Divo ou à Tiassalé. Mais malheureusement, quand la décision tomba, il se trouva projeté à Boundiali, au Nord de la Côte d’Ivoire !
         Mon père prit cela avec beaucoup de philosophie… En ce mois de Septembre 1977, nous quittions Sassandra pour Boundiali. Nous parcourions environ 700 km pour y arriver.
         Les jours qui ont suivi notre arrivée à Boundiali, notre père a reçu pour cadeau de bienvenue  un panier de pintades, comme pour  lui dire que son bonheur viendrait de cette ville, contrairement à ce qu’avait pensé son ami !
         Les neuf années que nous avions passées à Boundiali ont permis à mon père de construire successivement deux maisons, celle de son grand-frère et la sienne. Et à moi, le narrateur, l’éclosion de la plupart de mes œuvres !

Constant Ory.



MES DIFFERENTES ŒUVRES ET LEURS DEDICACES

I – De la nuit au jour ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom (Editions Edilivre)

Dans cette première œuvre qui marque ma venue dans la littérature en tant qu’auteur, ma dédicace a été formulée de la sorte :

Je dédie ce recueil de nouvelles  à ma mère et mon père,
A tous mes frères et sœurs,
A mes amis et connaissances,
Au Club des Amis de la Poésie de Radio Fréquence 2,
A notre marraine Mireille N’Doulou Pango,
A Charles Pemont, écrivain-éditeur,
A Irenée Akoi du Centre Unesco Akoi Kacou Remi,
Adèle Kouassi, animatrice à la Radio Nationale,
Marie Gisèle Aka, écrivaine,
René  N’Cho, homme au cœur  d’or,
Koné N’Ganon, mon complice, économe,
Hyacinthe Kakou, écrivain-journaliste,
Jean Marie Kouakou, Professeur à l’Université d’Abidjan,
A Yvette Assi, Ahoua Diomandé, Epiphanie Kouakou, Georgette Yapo,
A Georges Okou, Krah, Tanoh, Dan Diomandé, Nicodème Assi,
A Nephthali, Désiré, Jean Jacques Tagro, Oueï Gildas, Gazé Louho Clovis (poète), Adjoumani Arsène, Kouakou N’Indri,  Ake N’Cho (Instituteur), Leto Drigbé,
A Célestin Kossonou, Berté Zanga (poète), Kouakoussui Konan,
Et à tous ceux que je ne peux citer ici
Et qui ont une place de choix dans mon cœur.










II – Le vrai amour ne meurt jamais (Editions Edilivre)

Quant à ma deuxième œuvre, la dédicace a été orientée vers mes deux correspondantes françaises Marie Christine Bouillet et Paulette Ménétrier (Poétesse) qui ont marqué de leur empreinte ma vie présente.
J’ai voulu sa coloration ainsi :

Je dédie ce recueil de nouvelles  à tous ceux et celles qui sont en quête du vrai amour et qui ont une fois été piqués par les épines de l’amour,

A Marie Christine Bouillet, mon amie française de Fuveau,

A Paulette Ménétrier, mon amie poétesse de Tours, l’éditrice de mon œuvre « Un soleil dans tes larmes ».


III – Le guide pratique de la vie terrestre

Ma troisième œuvre, Le guide pratique de la vie terrestre, emprunte le chemin lumineux de l’élévation, par l’aspect de sa dédicace succincte :

Je dédie ce livret à mon père
Feu Ory Diéké Bernard,
homme de conviction
et de principes, doté d’une rare droiture.
A Feu Amadou Koné,
mon père malinké d’Odienné,
mon père spirituel.

A noter, de passage, que Monsieur Amadou Koné, fut le chauffeur du premier Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Son Excellence Jacques Raphaël Leygues. C’est grâce à lui que j’eus une correspondance particulière avec cette personnalité importante de la République française, qui avait même accepté de préfacer mon recueil de poèmes « Un soleil dans tes larmes », n’eût été son brusque  décès !


IV – Prisonnier du tourbillon de l’amour

Prisonnier du tourbillon de l’amour, qui est mon premier roman, s’ouvre, dans ma dédicace, à tous ceux et celles qui ont été oubliées dans mes premières œuvres.

Je dédie ce roman à ma sœur Claire Ory, pour son courage exemplaire, 
A tous mes condisciples de la mission catholique de Sassandra (1968-1974),
A Dje Adjouha Simeone, Professeur de français,
A Dago Eric, Professeur de lettres modernes,
A Kouamé Nicolas, mon ami, Assistant des PVA,
A Assovié Nando, Comptable,
A Ando Gbery Michel, Infirmier,
A Gbery Ildevert Patrice, Docteur en Médecine,
A Oussou Kouamé Médard,Gestionnaire,
A Kouadio N’Goran, mon amie calligraphe,
A Ouattara Rasside, Professeur de lettres modernes,
A tous mes amis poètes et poétesses de l’anthologie des plus beaux poèmes d’amour de la Saint Valentin « Tendresse et Passion » des Editions L’Encre Bleue,
A TOE Michelle Celine Rachel, Educatrice Spécialisée,
A Maître Dodo Célestin, Greffier en chef,
A Tossah Emmanuel, Modérateur de  la Fraternité AISCLE,
A Adiko Joseph et Soumahin Essi Paul Roland, mes amis de Sassandra,
A Ouattara Issihaka Bilé, Président d’ONG,
De même qu’à tous ceux  et  celles que je ne peux citer ici
Et qui ont une place de choix dans mon for intérieur.

         Evidemment, toute dédicace ne peut se faire sans que l’on n’oublie autour de soi quelques personnes chères. Mais qu’elles sachent que les non-dits sont de véritables secrets qui s’apparentent le plus souvent à de l’or.
         Bien affectueusement  à tous et à toutes.

Constant Ory

vendredi 1 juin 2012

Mon nom est : "Prisonnier du tourbillon de l'amour"

Je m'appelle "PRISONNIER DU TOURBILLON DE L’AMOUR»
Je suis le bébé de Constant Ory.

RESUME DE L’OEUVRE


Soré Yapi, célèbre professeur de médecine et grand danseur de musique cubaine, éternel célibataire, est pris dans l’engrenage de Jeanine et Marie-Géo, deux mulâtresses se ressemblant comme des sœurs jumelles. Laquelle des deux acceptera-t-elle d’être son épouse, au moment où il se trouve dans l’obligation de régulariser coûte que coûte sa situation matrimoniale au risque de perdre tous les avantages liés à son poste de professeur titulaire ?

Titre de l’œuvre : Prisonnier du tourbillon de l’amour
Thème : Sentimental
ISBN papier : 9782332502315
ISBN numérique : 9782332502322
Editions : Edilivre, France
Editeur-Fondateur : François Guilmoto
Date de sortie : 30 Mai 2012
Auteur : Constant Ory.