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MES DIFFERENTES ŒUVRES ET LEURS DEDICACES

I – De la nuit au jour ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom (Editions Edilivre)

Dans cette première œuvre qui marque ma venue dans la littérature en tant qu’auteur, ma dédicace a été formulée de la sorte :

Je dédie ce recueil de nouvelles  à ma mère et mon père,
A tous mes frères et sœurs,
A mes amis et connaissances,
Au Club des Amis de la Poésie de Radio Fréquence 2,
A notre marraine Mireille N’Doulou Pango,
A Charles Pemont, écrivain-éditeur,
A Irenée Akoi du Centre Unesco Akoi Kacou Remi,
Adèle Kouassi, animatrice à la Radio Nationale,
Marie Gisèle Aka, écrivaine,
René  N’Cho, homme au cœur  d’or,
Koné N’Ganon, mon complice, économe,
Hyacinthe Kakou, écrivain-journaliste,
Jean Marie Kouakou, Professeur à l’Université d’Abidjan,
A Yvette Assi, Ahoua Diomandé, Epiphanie Kouakou, Georgette Yapo,
A Georges Okou, Krah, Tanoh, Dan Diomandé, Nicodème Assi,
A Nephthali, Désiré, Jean Jacques Tagro, Oueï Gildas, Gazé Louho Clovis (poète), Adjoumani Arsène, Kouakou N’Indri,  Ake N’Cho (Instituteur), Leto Drigbé,
A Célestin Kossonou, Berté Zanga (poète), Kouakoussui Konan,
Et à tous ceux que je ne peux citer ici
Et qui ont une place de choix dans mon cœur.










II – Le vrai amour ne meurt jamais (Editions Edilivre)

Quant à ma deuxième œuvre, la dédicace a été orientée vers mes deux correspondantes françaises Marie Christine Bouillet et Paulette Ménétrier (Poétesse) qui ont marqué de leur empreinte ma vie présente.
J’ai voulu sa coloration ainsi :

Je dédie ce recueil de nouvelles  à tous ceux et celles qui sont en quête du vrai amour et qui ont une fois été piqués par les épines de l’amour,

A Marie Christine Bouillet, mon amie française de Fuveau,

A Paulette Ménétrier, mon amie poétesse de Tours, l’éditrice de mon œuvre « Un soleil dans tes larmes ».


III – Le guide pratique de la vie terrestre

Ma troisième œuvre, Le guide pratique de la vie terrestre, emprunte le chemin lumineux de l’élévation, par l’aspect de sa dédicace succincte :

Je dédie ce livret à mon père
Feu Ory Diéké Bernard,
homme de conviction
et de principes, doté d’une rare droiture.
A Feu Amadou Koné,
mon père malinké d’Odienné,
mon père spirituel.

A noter, de passage, que Monsieur Amadou Koné, fut le chauffeur du premier Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Son Excellence Jacques Raphaël Leygues. C’est grâce à lui que j’eus une correspondance particulière avec cette personnalité importante de la République française, qui avait même accepté de préfacer mon recueil de poèmes « Un soleil dans tes larmes », n’eût été son brusque  décès !


IV – Prisonnier du tourbillon de l’amour

Prisonnier du tourbillon de l’amour, qui est mon premier roman, s’ouvre, dans ma dédicace, à tous ceux et celles qui ont été oubliées dans mes premières œuvres.

Je dédie ce roman à ma sœur Claire Ory, pour son courage exemplaire, 
A tous mes condisciples de la mission catholique de Sassandra (1968-1974),
A Dje Adjouha Simeone, Professeur de français,
A Dago Eric, Professeur de lettres modernes,
A Kouamé Nicolas, mon ami, Assistant des PVA,
A Assovié Nando, Comptable,
A Ando Gbery Michel, Infirmier,
A Gbery Ildevert Patrice, Docteur en Médecine,
A Oussou Kouamé Médard,Gestionnaire,
A Kouadio N’Goran, mon amie calligraphe,
A Ouattara Rasside, Professeur de lettres modernes,
A tous mes amis poètes et poétesses de l’anthologie des plus beaux poèmes d’amour de la Saint Valentin « Tendresse et Passion » des Editions L’Encre Bleue,
TOE Michelle Celine Rachel, Educatrice Spécialisée,
A Maître Dodo Célestin, Greffier en chef,
A Tossah Emmanuel, Modérateur de  la Fraternité AISCLE,
A Adiko Joseph et Soumahin Essi Paul Roland, mes amis de Sassandra,
A Ouattara Issihaka Bilé, Président d’ONG,
De même qu’à tous ceux  et  celles que je ne peux citer ici
Et qui ont une place de choix dans mon for intérieur.

         Evidemment, toute dédicace ne peut se faire sans que l’on n’oublie autour de soi quelques personnes chères. Mais qu’elles sachent que les non-dits sont de véritables secrets qui s’apparentent le plus souvent à de l’or.
         Bien affectueusement  à tous et à toutes.

Constant Ory

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