En
respectant le code de la route, vous protégez à la fois votre vie et celle de
l’autre.
Si
Dieu est passé par l’homme pour inventer la voiture, c’est parce qu’il voulait
par ce moyen de locomotion lui faciliter la tâche dans ses multiples
déplacements. Mais en même temps qu’il lui a inspiré cela, il l’a amené à
écrire un livre appelé « Le code de la route » que chaque automobiliste
se doit de respecter pour éviter le pire. Car la voiture, quand bien même elle
facilite nos multiples déplacements, n’en demeure pas moins ce que l’on appelle
« le Cercueil roulant », source de mort prématurée.
Va-t-on
toujours continuer de décrocher notre
portable, même en pleine circulation, conduire en état d’ivresse, brûler
le feu rouge, alors que nous n’avons pas la priorité ? Le non-respect du
code de la route a endeuillé des familles entières. Si ce n’est pas le
conducteur et sa famille qui sont décimées,
cela peut être au détriment d’un pauvre piéton qui, ayant la priorité, traverse
la route sans imaginer un seul instant qu’il pourrait être fauché mortellement
la seconde à venir par un automobiliste n’ayant pas respecté la plus
petite des règles du code de la route « Le feu rouge »!
Vous
qui avez pour moyen de locomotion la voiture, quel que soit votre statut
social, mettez-vous chaque jour dans
l’esprit ceci : « En respectant le code de la route, je protège non
seulement ma vie mais aussi celle de mon prochain. Je dois tout faire pour ne
pas l’écourter en suivant à la lettre cette règle élémentaire de la
conduite. » Comme le dit l’adage « La vie est à la fois simple et
difficile ». Là où l’on croit que la liberté nous est permise, l’on creuse
sans savoir sa tombe. Et surtout évitez de conduire en état d’ébriété.
Il
y avait un cadre international, qui se faisait toujours conduire par un
chauffeur, au cours de ses différents déplacements. Le chauffeur faisait
consciencieusement son travail, recevant régulièrement des félicitations de son
patron. Mais un jour, contre toute attente, alors qu’il était en état
d’ivresse, il dit à son chauffeur son désir de prendre le volant. Le chauffeur,
averti du danger que celui-ci pourrait encourir en agissant ainsi, essaya de
l’en dissuader sans pour autant essuyer sa colère, allant jusqu’à le menacer de
renvoi. Le chauffeur, sentant son métier menacé, n’alla pas au-delà… C’est
ainsi que son patron prit le volant de sa voiture de commandement ; mais
malheureusement, en cours de route, celle-ci fit une embardée qui se termina
par plusieurs tonneaux. Et ce fut l’irréparable ! Le corps inerte de son
patron fut sorti des tôles froissées de sa voiture, tandis que le chauffeur eut
la vie sauve. Voilà jusqu’où peut nous conduire notre imprudence !!!
Constant Ory