Les
plus belles chansons du monde ont toujours eu pour coloration le mot
« Amour ». Qui ne se rappelle la chanson sempiternelle « La maladie
d’amour » fredonnée par tous les âges ! Et l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » ne vient que corroborer cette assertion avec ces beaux poèmes d’amour qui la composent ?
Dans
cette Anthologie, vous aurez l’opportunité de découvrir 26 auteurs
francophones, 26 auteurs francophones qui vous conduiront dans les
méandres paradisiaques de l’Amour. La Culture Plurielle qui est
un blog qui s’intéresse à la chose littéraire, a bien voulu à travers
cette table ronde sur cette œuvre incommensurable, magnifier l’Amour
dans toute son essence. En avant-goût, la couverture de l’Anthologie
vous plante dans ce décor d’Éden qui vous attend : La mer miroitant
une belle rose étendue de tout son long sur la plage et à l’horizon un
soleil pointant fièrement sa silhouette. L’horizon est le symbole du
lointain, de l’intemporel, de l’inaccessible…, Saint Valentin
l’incarnation d’un homme, qui à travers ses nobles œuvres terrestres,
nous a donné le vrai sens de l’Amour au-delà de l’amour charnel…,
l’amour éphémère. Et la mer, le mystère, l’Amour orchestré par Dieu le
Suprême, l’Omnipotent, l’Alpha et l’Omega !
L’œuvre commence par le poème « Donne-moi » de la poétesse française Michelle-Marie Borgelot : « Donne-moi
l’émoi de l’amour / Comme au premier jour. / La force quand mon corps
m’abandonne ; / La sérénité de celui qui pardonne… », que lit Gazé Clovis d’une voix langoureuse, respectant toutes les articulations, sous des pluies d’applaudissements !
Autour de la table ronde nous avons Gazé Clovis, le poète aux mille guitares, homme de Droit, auteur de « LE NOBLE DANS LE BLEME ET LA CLOCHE DE L’UNITE »,
Leto Drigbé, Gestionnaire Administratif, amoureux de la poésie,
Constant Ory, Comptable de formation, tombé sous les armes inoffensives
de la poésie, haïssant depuis les chiffres, Auteur du recueil de poèmes
« UN SOLEIL DANS TES LARMES… », faisant partie des 26 auteurs de l’anthologie « TENDRESSE ET PASSION », Kouakou N’indri, Instituteur, auteur du Syllabaire « APPRENONS A LIRE EN AFRIQUE ».
La culture plurielle : Pour vous qu’est-ce que l’amour ?
Gaze Clovis :
L’amour anoblit les rapports humains. L’amour enjolive. L’amour
rapproche. L’amour épanouit. L’amour est une sève nourricière de la
cohabitation humaine comme le sang l’est pour l’organisme. Là où
s’assemblent deux ou plusieurs personnes l’amour doit y régner pour
l’harmonie de la société. Les difficultés existentielles sont aplanies
grâce à l’amour. L’amour concourt à l’épanouissement humain.
Leto Drigbé :
L’amour est un sentiment qui pousse un être humain à avoir de bonnes
pensées pour son prochain. Ce sentiment nous amène au pardon, à
l’acceptation de l’autre.
Constant Ory :
L’Amour vrai est un tout. Enlevez une lettre au mot Amour et vous
verrez ce que ça donne comme résultat. Aimer est quelque chose
d’inexplicable qui n’a aucun lien avec la raison. Il se vit, c’est la
rencontre avec Dieu à travers un être de sexe opposé, l’oubli de soi
pour l’autre et vice-versa, la plus grande alliance dans notre vie
terrestre.
Kouakou N’indri : L’amour, c’est l’affection qu’une personne a pour son prochain.
La
culture plurielle : Dans l’anthologie « Tendresse et Passion », quel
est le poème qui vous a le plus marqué ? Lisez-nous quelques vers.
Gazé Clovis : En poésie, il n’y a pas de préférence. Tous les poèmes contenus dans l’Anthologie TENDRESSE ET PASSION
sont d’égale beauté. Ils ont été pensés par leurs auteurs. Ils y ont
mis ce qu’ils ont en leur mémoire de plus clair, de plus lucide mais
aussi de plus vague. Ce qui est à retenir est que chaque poème a ses
caractéristiques. Le lecteur trouvera son goût dans les textes poétiques
présentés par l’ouvrage. Les auteurs doivent être remerciés autant que
l’éditeur. Le choix est donc difficile parce qu’en portant un choix sur
un tel ou un tel poème, je pense que c’est dénier ou blâmer certains
auteurs qui se sont donné la peine à les concevoir, à les créer, à les
enfanter.
Leto Drigbé : Dans l’anthologie le poème qui m’a le plus marqué c’est celui intitulé « VENUS »,
dont je lis ces extraits : « Vénus, je suivrai tes sillons / Quand
j’entendrai chanter le grillon. / Au rythme de tes pas lents / Je te
grincerai mon talent… ».
Constant Ory :
Tous les poèmes de l’anthologie sont beaux. Alors que faire, je vais
ouvrir les pages au hasard et lire quelques vers. Je tombe sur le poème
« MON AMOUR …INTERDIT » de la poétesse Esmeralda Poupoin : « Dans
le silence de la nuit, / Je pense à toi…/ Jamais je ne pourrai oublier
tes yeux dans les miens / Jamais je ne pourrai oublier tes mots
d’amoureux, / Qui ont métamorphosé mon lointain regard triste dans ce
noir où j’étais… »
Kouakou N’indri : Le poème Didadi de Constant Ory est celui qui m’a le plus marqué à travers ces vers expressifs : « Tes
ampoules d’une luminosité dévorante / J’ai tenu longtemps ton image
dans ma main / Et compris / Pourquoi ton corps en se trémoussant /
Faisait / Dida / Dadi / Didi / Dans la nuit obscure ».
La
table ronde poétique s’est terminée par quelques poèmes lus par les uns
et les autres. Les sons d’une guitare lointains semblaient accompagner
ces amoureux fous de la poésie. Puissent les poèmes de l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » à travers les poétesses et poètes tels que : Michelle-Marie
Bodin-Bougelot, Linda Gnoka, Arielle Alby, Aminata Kané, Marjolaine
Goué (Holy Dolorès), Esmeralda Poupoin, Christelle Lafont, Josiane
Carole Gnoka, Valérie Moya Lobabie, Mehdi Takoust (Armée de
l’Air), Josué Guébo, Tayeb Herchi, Bill Oxo, Abdou Simon Senghor, Essy
Z. Ebony, Arsène Ablo, Cédric Marshall Kissy, Max Tan, Serge Blé, Aimé
Comoé, Vincent Atchoumou, Judicaël Guépié, Ange N’Da Kouamé, Immac
Adokan Kouadio, Nicaise N’Guessan, Constant Ory, guider tous les
amoureux de la planète terre à ne voir qu’une seule image, l’image de
leur amour, affrontant les plus grandes tempêtes, les plus grands
ouragans pour monter sur les hauteurs de VENUS, la planète de l’Amour !
Table ronde organisée par le blog : www.lacultureplurielle.centerblog.net pour le compte de FACEBOOK.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire