samedi 2 mars 2013

COMMENT CONTROLER LA REPRODUCTION ILLEGALE DES OEUVRES ?

       Dans le domaine de l'art, l'écrivain est, par excellence, celui dont l'œuvre prend assez de temps pour paraître sur le marché du livre.

       Se privant d'un certain nombre de choses, il s'adonne avec beaucoup de courage et de patience à son ouvrage. Certains d'entre eux prennent un an pour y arriver, tandis que d'autres, plus... Après quoi, il se trouvera confronté au monde l'édition : Faut-il éditer son œuvre à compte d'auteur ou d'éditeur ? S'il n'a pas les moyens, il se tournera bien sûr du côté de l'édition à compte d'éditeur avec la signature d'un contrat dans lequel il est spécifié qu'il doit toucher seulement 10 % sur la vente de chaque ouvrage. Prenant son mal en patience, il souhaite ardemment que cette œuvre ait suffisamment du succès afin qu'il arrive à s'affirmer.

        Les éditeurs, pour pallier à d'autres difficultés qui peuvent rivaliser avec la bonne marche de l'ouvrage, prennent soin  d'écrire à l'intérieur cette phrase sempiternelle : "Toute traduction, reproduction ou adaptation de cet ouvrage, par quelque procédé que ce soit, est interdit sans l'autorisation de l'éditeur, sous peine de poursuite judiciaire". 
Outrepassant cela, méprisant la vie de bohème de l'écrivain, les faussaires de l'art mettent leur batterie impitoyable en marche, en reproduisant à grande échelle toutes les œuvres des auteurs célèbres ou non.

         C'est par le canal de mes amis bouquinistes que je suis tombé sur le spécimen d'une œuvre photocopiée. Je n'avais jamais imaginé une chose pareille, si je n'en avais pas été moi-même témoin oculaire.

        Mon étonnement et ma désapprobation furent tels, que j'ai décidé d'écrire cet article afin de porter une telle information aux yeux des maisons s'occupant de la protection des œuvres de l'esprit et savoir davantage sur leur stratégie de lutte contre ce genre de pratiques qui, à la longue, risque de porter atteinte à tout ce qui touche au monde des livres.

          Il faut dès maintenant sévir à ce niveau avant qu'il ne soit trop tard. 

            Mais comment s'y prendre ? Telle est la question posée.

                                                                                                                                                                                                            Constant Ory,
                                                                                          Ecrivain


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