vendredi 1 mars 2013

STOP ! A L'AVORTEMENT !

       L’avortement, tout le monde le sait, est une manière pour une jeune fille ou une femme d’ôter la vie d’un fœtus quelle qu’en  soit la manière. Dans la généralité des cas, celle qui s’adonne à ce genre de pratique s’en sort toujours avec des séquelles allant jusqu’à sa stérilité ou à sa mort. Et pourtant il est démontré par A plus B qu’un acte sexuel débouche toujours sur une grossesse ! Pourquoi alors les femmes coupables d’un tel acte n’auraient-elles pas pensé à une de ces multiples méthodes de contraception que leur a offertes la médecine moderne pour prévenir une telle chose ? Ont-elles pensé un seul instant au mal qu’elles ont fait à cet être qui aurait voulu aussi vivre comme elles ? Au combat que ce dernier a livré avec les autres spermatozoïdes pour arriver à ce stade de fœtus ? Malgré les raisons qu’elles puissent évoquer pour agir de la sorte, qu’elles sachent qu’elles ne sont pas pardonnables. Car la vie, c’est Dieu qui la donne et non l’homme. Notre mission en tant qu’hommes et femmes s’arrêtent à l’accouplement. A partir du moment où nous avions des rapports intimes, nous devons plus ou moins nous attendre à un tel résultat. Alors à chacun et à chacune d’entre nous d’assumer sa responsabilité en cas d’une situation pareille.





          Concernant l’avortement, Mahatma Gandhi, le grand sage et apôtre de la non-violence, a dit dans son livre " Nous sommes tous des frères ", et je cite : «  Voici ce que m’écrit un jeune homme et dont je ne peux rendre compte qu’en substance : « Au cours de mon absence à l’étranger, un ami, qui avait ma confiance implicite et celle de mes parents, a séduit ma femme. Mon père insiste à présent pour qu’elle se fasse avorter ; autrement, dit-il, la famille serait déshonorée. Selon moi, ce serait répréhensible d’agir ainsi. La pauvre femme se consume de remords. Elle en a perdu le boire et le manger et ne cesse de pleurer. Voudriez-vous avoir l’obligeance de me dire où est mon devoir. » Ce n’est pas sans beaucoup d’hésitation que j’ai publié cette lettre. Comme chacun le sait, de telles situations ne sont nullement rares, dans notre société. Il ne me semble donc pas déplacé de débattre cette question en petit comité. Pour moi, il va de soi que l’avortement serait un crime. On ne compte plus les maris qui se rendent coupables du même écart de conduite que cette femme et pourtant personne ne les met en cause. Non seulement la société les excuse, mais elle ne les blâme même pas. Alors que rien ne permet à la femme de dissimuler sa honte, l’homme, lui, peut avec succès ne rien faire voir de son péché. » Autant dire que même si les femmes sont mises au banc des accusées dans une telle situation, nous en sommes aussi coupables.
            De plus en plus, certaines femmes croient que le fait d’avoir un enfant hors mariage, minimise leur chance d’avoir un jour un mari. Ce qui les pousse à passer par ce moyen pour faire croire à l’opinion qu’elles sont blanches comme neige. Sans le savoir, elles sont ainsi en train de compromettre dangereusement leur situation de femmes célibataires, car elles ne peuvent pas s’imaginer si l’enfant qu’elles viennent de tuer sera le seul qu’elles auront durant toute leur vie. Et puisque avoir une femme ou un homme est une question de chance, qu’est-ce qu’elles feraient si un jour elles se retrouvaient dans un foyer et qu’elles n’arrivaient plus à procréer ? 

            Beaucoup de foyers ayant été disloqués à cause de ces raisons, les femmes doivent savoir qu’avoir un enfant hors mariage ne constitue pas un obstacle quant à l’avoir futur d’un foyer. Elles doivent donc bannir à jamais  dans leur esprit l’avortement, car non seulement il les amène à commettre un crime sur un enfant innocent, mais aussi peut entraîner leur mort ou dans le cas contraire, les rendre stériles. 

                        Constant Ory

Ecrivain.


Source image : http://www.lecielestbleu.net 

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